Ils restent incrédules. Ils ne se fient plus à leurs sens. Ce à quoi ils assistent, ne suffit pas à les convaincre de cette cruelle et dure réalité. Ginoue n\'est plus. Et l\'on assiste à ses funérailles. Discours, témoignages, homélie... rien ne change. « Ginoue n\'est pas morte », continue de répéter tout au long de la cérémonie, des sympathisants, amis, admirateurs et fans de la présentatrice et actrice. Les pleurs, témoignage d\'une vive douleur, retentissent. Comme un virus, les cris se propagent. Et les jardins de la Télémax se transforme
Funérailles/Assassinat
Pleurs, fleurs... pour Ginoue
Si les cris amers de certains admirateurs de Ginoue restaient collés à leur gorge, ceux de Jessica St Jean, de Djhannah Charles, de Maritza Medjine Pierre, de Youvika Menos, de Valencia Pétion, de Soraya Sénatus, de Nahomie Mérilan, de Farah Antoine, de Sénat Antoniel, Natacha Personna, d\' Adolphe Janvier, de Fabiola Normil... ont littéralement fissuré les murs de la Station de télévision de Delmas 19, Télémax. Au troisième jour de l\'année 2006, dans les jardins de la chaîne 5, les émotions, les pleurs et les fleurs pour rendre un dernier hommage à la présentatrice de Vidéomax, Ginoue Mondésir, sauvagement assassinée par son amant le 24 décembre 2005.
Par Gaspard Dorélien
gasparddorelien@lenouvelliste.com
Jonel Juste
joneljuste@lenouvelliste.com
03 janv. 2006 | Lecture : 3 min.