Le premier trimestre de l'année judiciaire aura été baclé en raison du dysfonctionnement du tribunal de première instance de Port-au-Prince.
La majorité des juges dont les contrats étaient arrivés à expiration n'avaient pu siéger, question d'éviter que les décisions rendues soient nulles et non avenues. En ce sens, ils ont fait montre d'un profond respect de la loi qu'ils disent souvent être leur boussole. Sans oublier leur conscience qui est un élément important.
On a pris un temps record pour reconduire certains d'entre eux. Entre-temps,