Le Nouvelliste (L.N) : Wébert Charles, votre dernière publication poétique remonte à 2013. Vous vous êtes par la suite concentré sur la critique littéraire et sur l’édition. Pourquoi nous revenir près de 10 ans après avec un recueil de poèmes ?
Wébert Charles (W.C) : Je me rappelle qu’un journaliste avait posé cette question à l’écrivaine Evelyne Trouillot qui avait répondu à cette époque de manière générale « que la littérature ne pardonne pas des infidélités ». Je pense que la poésie est une exception