Jacques Stephen Alexis : pour « une mémoire qui va de l’avant »

En cette année du centenaire de sa naissance, ce qu’Alexis a gardé, ce qui fait sa grandeur, c’est que ne peuvent se cacher derrière lui ni forfanterie ni forfaiture.

Antoine Lyonel Trouillot
Par Antoine Lyonel Trouillot
19 avr. 2022 | Lecture : 3 min.

En cette année du centenaire de sa naissance, ce qu’Alexis a gardé, ce qui fait sa grandeur, c’est que ne peuvent se cacher derrière lui ni forfanterie ni forfaiture. Sa parole est trop limpide,  sa pensée  trop élaborée, son action trop concrète, son idéologie trop assumée, son œuvre littéraire trop aboutie, pour souffrir le moindre détournement.

Qu’importe si qui n’a rien à voir avec son écriture, ses pensées, ses choix de vie, sa mort, son courage, prétend le célébrer.

Qu’importe le silence dans lequel

CET ARTICLE EST RÉSERVÉ AUX INSCRITS

Inscrivez-vous gratuitement

Il vous reste 85% à découvrir. Inscrivez vous pour lire la suite de cet article.