En cette année du centenaire de sa naissance, ce qu’Alexis a gardé, ce qui fait sa grandeur, c’est que ne peuvent se cacher derrière lui ni forfanterie ni forfaiture. Sa parole est trop limpide, sa pensée trop élaborée, son action trop concrète, son idéologie trop assumée, son œuvre littéraire trop aboutie, pour souffrir le moindre détournement.
Qu’importe si qui n’a rien à voir avec son écriture, ses pensées, ses choix de vie, sa mort, son courage, prétend le célébrer.
Qu’importe le silence dans lequel