Sept mois après la signature de l’accord pour une gouvernance apaisée et efficace entre Ariel Henry et des acteurs politiques présents sur le terrain, dont certains anciens opposants farouches au régime du PHTK, cet accord fait du surplace. La plupart des objectifs fixés dans cet accord politique peinent à être réalisés. L’insécurité continue de sévir partout dans le pays, toujours pas de Conseil électoral provisoire ni d’organe de contrôle de l’action gouvernementale. Certains signataires commencent à se désolidariser de cet accord p