Mesdames, Messieurs,
Je manquerais, avant tout, à l’honneur et à l’amitié franche et loyale dont il daignait m’honorer, si je ne vous invitais à consacrer une minute de recueillement à la mémoire du professeur Gérard Pierre-Charles : ce géant disparu à qui nous devons particulièrement la création de l’OPL. Je joins à l’hommage celles et ceux partis en cours de route : certains fauchés par la maladie ; d’autres, tombés sous les balles assassines d’ennemis dévoyés de la démocratie... Merci !
Camar