Le pic vertigineux de l’insécurité pour le dernier trimestre de l’année 2021 donne froid dans le dos. La crainte de revivre l’expérience 2020 guette constamment les amateurs d'affiches d'événements culturels. L’insécurité sur fond du coronavirus a colorié d’une couleur pâle les fêtes de fin d’année de l’an précédent. La traditionnelle Nuit des Apaches a été la figure miniaturisée de ces déboires. Cette inquiétude n'intimide pas autant les promoteurs. « Je suis très positif », a lancé Akenson Bélizaire sur les ondes