Au début du mois de juillet 2021, il était clair que le président Jovenel Moïse avait en main tous les leviers de la gouvernance, et ce, depuis janvier 2020. Sur cette base, le président était sorti de la Constitution de 1987 amendée pour faire et défaire et a même tout fait pour changer la Constitution qu’il n’avait pas le droit de toucher. Encore moins par référendum.
Aucun premier ministre, ministre, ni le secrétaire général du Conseil des ministres, à aucun moment, n’avait crié attention, encore moins holà.