J’avais 12 ans lorsque nous accueillimes la première télévision noir et blanc à la maison. Cette source nouvelle de divertissement (5 heures par jour) faisait l’objet d’une grande surveillance parentale. Mes parents étaient les sentinelles de la censure. Il fallait éviter de m’exposer aux mauvaises mœurs et à la violence, contenues dans certains programmes.
Malgré le fait que ce fut une société de l’apparat, cela a, sans doute, maintenu un semblant d’idéal. Cela a peut-être gardé la référence à quelques repères sociaux, mê