La crise permanante de la PNH atteint son paroxysme dans le pire moment : la transition du pouvoir politique et les luttes autour de l’indispensable nouvelle Constitution. Le pays a besoin de calme pour bien faire ses choix.
Or, tout est chamboulé. La peur s’installe et personne n’est à l’abri des violences de gangs, lesquels font la pluie et le beau temps. La hiérarchie et la discipline – principes sacrossaints de toute institution chargée de maintenir l’ordre et la sécurité – sont battus en brèche.
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