L.N. : Votre livre est le fruit des résultats d’une thèse de doctorat que vous aviez soutenue à l’université Laval en 2015. Vous avez même obtenu le Prix de thèse du Comité national pour la mémoire et l’histoire de l’esclavage. On sait qu’un travail de recherche exige à la fois du temps, de la rigueur académique et de la patience, mais conduit certains chercheurs à l’abandon. Quels sont les moments les plus marquants lors de la réalisation de votre recherche ? Quels obstacles avez-vous rencontrés ?
J.R.A. :&n