Mise en patrimoine de la mémoire

Dr Jean-Ronald Augustin pose un regard ethnologique sur le passé colonial et esclavagiste en Haïti (Suite)

La véritable satisfaction de tout chercheur, c’est de transmettre ses résultats au grand public et se sentir utile à la communauté scientifique, en particulier et à l’humanité, en général. 

L.N. : Votre livre est le fruit des résultats d’une thèse de doctorat que vous aviez soutenue à l’université Laval en 2015. Vous avez même obtenu le Prix de thèse du Comité national pour la mémoire et l’histoire de l’esclavage. On sait qu’un travail de recherche exige à la fois du temps, de la rigueur académique et de la patience, mais conduit certains chercheurs à l’abandon. Quels sont les moments les plus marquants lors de la réalisation de votre recherche ? Quels obstacles avez-vous rencontrés ? 

J.R.A. :&n

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