La collection, il convient de le rappeler, provient de ses réflexions sur la vie, sur les dualités, ses verticalités qu'on invente mais qui s’effondrent comme des châteaux de cartes devant la pandémie actuelle du coronavirus qui fait pleurer sous nos yeux puissants et gens ordinaires. L’artiste, en amont de l'exposition, expliquait qu'il s'agissait pour elle de restituer dans son médium une quête personnelle et collective de lumière et de sens en ces temps sombres. Le gros des 21 pièces est en épaisseur moyenne. Ils sont tous anonymes.