Le décret jetant dans le débat public le nouveau code pénal partage l’opinion en deux camps. Celui du gouvernement et de ses alliés naturels ou inattendus et le camp de ceux qui, par principe ou par conviction religieuse, refusent de laisser la société s’engager, sans provisions légales et sans débats, dans un grand virage sociétal.
Si les politiciens s’opposent et se positionnent, si les juristes et les avocats craignent le pire avec la pluie des décrets, d’autres à coups d’ashtags et de tweets, de beaux textes et d’arguments a