Si débat il y en sur la fin de mandat du président Jovenel Moïse, c’est à cause de l’attitude des sénateurs qui ne voulaient pas partir en 2018 et 2020, estime Jean Charles Moïse. Dans le cas contraire, « l’agitation de cette question n’aurait même pas sa raison d’être ». Car, selon le leader de Pitit Dessalines, « la Constitution a déjà tranché. » La présidence d’une année de Jocelerme Privert marque aussi le début du quinquennat de Jovenel Moïse. Puisque le « respect de la loi s’impose en toute occasion »,