Et si la CNDDR encourageait la prolifération des gangs armés ?

Après la chute du président Jean-Bertrand Aristide le 29 février 2004, la capitale haïtienne allait basculer dans une vague d’insécurité tutoyant la terreur.

Le Nouvelliste
Par Le Nouvelliste
02 mars 2020 | Lecture : 6 min.

Après la chute du président Jean-Bertrand Aristide le 29 février 2004, la capitale haïtienne allait basculer dans une vague d’insécurité tutoyant la terreur. Le rétablissement de l’ordre et de la sécurité était, comme aujourd’hui, l’urgente nécessité. Le gouvernement  de transition dirigé par le Premier ministre d’alors Gérard Latortue et la Mission des Nations unies pour la stabilisation en Haïti (Minustah) n’arrivait pas à faire régner la paix, particulièrement dans le quartier du Bel-Air et dans la commune de Cité Soleil. Il y a e

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