La situation est morne ce matin du 25 novembre dans les locaux de l’association Kouraj. Le chagrin s’abat sur ces quelques membres de la communauté M qui s’y retrouvent. Ces derniers précisent tout de go qu’ils ne diront pas un mot à la presse. Une sorte d’omerta assez compréhensible mais qui laisse planer tant d’incertitudes sur les conditions de la mort de leur leader.
Un de ses collaborateurs, sous le couvert de l’anonymat précise que Charlot n’était pas un homme d’excès, qu’il menait plutôt une existence quasi monac