L’espace d’une catastrophe

‘’Lè l’a libere Ayiti va bèl’’ Oh ce texte de Jean Claude Martineau, interprété par le symbole de la chanson patriotique, se résonnait dans toutes les radios, toutes les manifestations et tous les rendez-vous patriotiques d’une Diaspora profondément déterminée.

‘’Lè l’a libere Ayiti va bèl’’ Oh ce texte de Jean Claude Martineau, interprété par le symbole de la chanson patriotique, se résonnait dans toutes les radios, toutes les manifestations et tous les rendez-vous patriotiques d’une Diaspora profondément déterminée. Ce fut les années 80.

Au début des années 80, à tue-tête on chantait, on invoquait la saison des papillons la tête altière et haut les fronts. De New York à Little Haïti, de Chicago à Montréal, de Paris à Boston ; les communautés Haïtiennes plurielles fredonnaient ce

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