La grève lancée par les syndicats des chauffeurs du transport en commun pour ce lundi 19 septembre 2005, pour forcer le gouvernement intérimaire à revoir à la baisse le prix de l'essence à la pompe, n'a pas eu le même succès que celle du lundi 8 août dernier.
Si très tôt dans la matinée, les automobilistes ont hésité à prendre la rue, à mesure que le temps passent des véhicules se faisaient de plus en plus remarquer à tel point qu'au niveau de certaines artères de la capitale la circulation ne se diffèrait pas de celle des jours normaux.