Festival de graffitis I 4e édition

Il n’y a pas que des barricades à Port-au-Prince, le street art investit nos murs

Alors que l’on brûle des pneus à l’avenue Lamartinière, au Bois-Verna, ce mardi 17 septembre, le festival de graffitis ne chôme pas.

Claude Bernard Sérant
Par Claude Bernard Sérant
26 sept. 2019 | Lecture : 2 min.

Alors que l’on brûle des pneus à l’avenue Lamartinière, au Bois-Verna, ce mardi 17 septembre, le festival de graffitis ne chôme pas. Les graffiteurs continuent à peindre nos murs. Armés de bombes aérosols, de pinceaux, de récipients de peinture, ils expriment en couleurs des sujets qui éveillent notre curiosité. Les murs des maisons et écoles privées de l’avenue Lamartinière, des rues Camille Léon et Baussan se transforment au fur et à mesure.

Le Collectif pour la promotion des arts urbains et de l’art contemporain (CPA

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