Alors que l’on brûle des pneus à l’avenue Lamartinière, au Bois-Verna, ce mardi 17 septembre, le festival de graffitis ne chôme pas. Les graffiteurs continuent à peindre nos murs. Armés de bombes aérosols, de pinceaux, de récipients de peinture, ils expriment en couleurs des sujets qui éveillent notre curiosité. Les murs des maisons et écoles privées de l’avenue Lamartinière, des rues Camille Léon et Baussan se transforment au fur et à mesure.
Le Collectif pour la promotion des arts urbains et de l’art contemporain (CPA