Ils sont environ 129 employés du bureau de la délégation de l’Ouest en attente de 24 mois d’arriérés de salaire. De grève de faim au mouvement pacifique, les plus zélés décident de passer à l’offensive en durcissant leur position sur la route de Canapé-Vert pour forcer l’État à prendre ses responsabilités envers eux.
« Nous sommes des fantômes aux yeux de l’État. On croule sous des dettes et on perd notre dignité », crache Luc Johnson Julien, coordonnateur de supervision au sein de la délégation de l’Ouest.<