Jusqu’au mois d’avril, les importations de biens ont subi une baisse de 4%, les transferts sans contrepartie augmentent de 9%, les montants tirés des exportations du textile sont en hausse de 9%, le déficit budgétaire est contenu à un niveau de 4,6 milliards de gourdes contre 12,5 milliards de gourdes au cours de la même période l’année dernière, des indicateurs susceptibles de stabiliser, sinon stopper le décrochage de la monnaie locale. Mais ce n’est pas le cas. La tendance à la baisse observée au cours du mois de mars n’é