Réparti en dix séquences, ce monologue de 66 pages du poète, comédien et dramaturge Isaac Volcy est donc l’hypoténuse de sa trinité féminine : mère, épouse et amante. Là où l’auteur fait un double jeu entre sa relation avec sa terre natale et le triple rôle de la femme. Tantôt, il parle d’Haïti. « L’Arbre oratoire», parle tantôt de sa mère ; ou de sa femme, parfois, il les confond. Un jeu qui lui permet de saisir les différentes facettes de sa terre natale et les responsabilités qu’il a envers elle, soit comme enfant, époux