Il est traditionnellement admis que le système bancaire doit évoluer dans un environnement stable et sécuritaire. Toute perturbation externe risque d'affecter la stabilité et le fonctionnement interne du système. C'est ainsi que le mouvement de violence qui a débouché sur le départ de l'ex-président Aristide ajouté au mouvement qualifié "d'opération Bagdad" déclenché de septembre 2004 à la période en cours a causé des dommages importants à l'activité économique réelle et au système bancaire.
Le bilan parait très négatif au regard des indic