Ils sont nombreux. Les enfants placés en domesticité. Les « restavèk ». Les « Sélavie ». Ils sont chez nous ou dans le voisinage à subir violences corporelles et mentales. Ces nouveaux esclaves peuplent notre quotidien, il y a fort longtemps. C’est ce constat amer qui a poussé ce travailleur social à soumettre, deux ans de cela, son premier roman à la plus grande foire du livre du pays et à poursuivre l’aventure. Aujourd’hui, Rénold Louis, à travers son nouveau texte, réclame justice pour tous ces gosses dont l’enfance