Carte blanche à Jean-Claude Boyer
Le change monte et n’en finit pas de monter. Entrainant les prix dans son sillage. Personne ne sait où donner de la tête ni à quel saint se vouer. Au-delà du réflexe facile, par les commerçants, de valse des étiquettes, il faut bien poser le problème de la double circulation monétaire, déjà trop longtemps esquivé.
Sommes-nous à la veille d’une nouvelle explosion sociale ? Au fil des rencontres, l’inquiétude est extériorisée : « Gen yon mizè ! »