« L’expérience a prouvé qu’à chaque fois que nous étions frappés par des épiphénomènes, la faiblesse de la gouvernance, le manque de moyens et les difficultés dans la coordination de l’assistance n’ont pas permis de sauver le plus grand nombre de vies possibles. C’est la débrouillardise et l’improvisation qui ont prévalu en l’absence d’un manque criant de planification et de coordination », a déclaré la ministre de la Santé, le Dr Marie Gréta Roy Clément, dans un exercice de justification.
Le plan d’urgence est,