Quelques heures après la nomination du ministre Jean-Michel Lapin comme Premier ministre par intérim, Jean-Henry Céant a tiré la révérence par lettre adressée au président de la République. Convaincu de son échec dans sa tentative de traduire en justice la Chambre des députés, en raison de la motion de censure, il a enfin jeté l’éponge après avoir été le dindon de la farce de cette comédie grotesque. Juriste de formation et candidat malheureux aux deux dernières élections présidentielles, Me Céant paraît suffisamment expérimenté