La seule réaction des autorités en place vient du secrétaire d’État à la Communication. Eddy Jackson Alexis, affirmant que la dernière fois qu’il s’est entretenu avec la Direction centrale de la police judiciaire (DCPJ), chargée de collecter les preuves de la mort du photojournaliste, sur l’avancement de l’enquête, les responsables lui ont confié que le rapport d’analyse sur les effets supposés appartenus à la victime est toujours aux USA. Sans ce rapport, il n’y a vraiment aucune confirmation de l’assassinat de Vladjimir Legagne