Télécommunications

L’insécurité hertzienne, elle aussi, fait grincer des dents

Interférences, insécurité hertzienne ou piraterie dans l’audio-visuel haïtien font voir de toutes les couleurs aux propriétaires de radios, de télévisions, aux opérateurs de téléphonie, aux exploitants du spectre radioélectrique...Le Conseil national des télécommunications accorde la priorité au dialogue pour mieux réguler ce secteur en pleine expansion.

Dieudonné Joachim
Par Dieudonné Joachim
12 mars 2019 | Lecture : 3 min.

Les interférences dans le domaine de la radiodiffusion sont courantes en Haïti, et en particulier dans la zone métropolitaine de Port-au-Prince. Elles font figure d’une guerre des ondes. Les exploitants de fréquences font face à ce qu’on appelle désormais « l’insécurité hertzienne ».

Il ne se passe pas une semaine sans une plainte relative aux interférences émanant des directeurs de stations de radio, de télévision ou des opérateurs de téléphonie. Le directeur général du Conseil national des Télécommunications (Conatel), Jean Da

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