Il a fallu plusieurs heures de discussion aux 18 sénateurs présents dans la salle pour décider si oui ou non la séance du jour devait se tenir à huis clos ou publiquement.
Cette idée d’une séance loin des caméras de la presse vient du Premier ministre Jean-Henry Céant qui est à la tête d’un CSPN édenté, vu l’absence du directeur général de la Police nationale, Michel-Ange Gédéon, et du commissaire du gouvernement de Port-au-Prince, Paul Eronce Villard, et à la recherche de confort pour mieux cracher le morceau aux sénateurs sur