Devant un public mixte et familier, quatre voix féminines assemblées ont offert à tour de rôle à l’assistance lecture, récital de poésie et réflexions sur la marginalité historique de la question des sexes, du genre et de l’écriture. Il s’agit de : Mélissa Béralus, auteure du récit en créole haïtien, « Alarive lavi » ; Marie-Ange Claude, poétesse lauréate en décembre 2018 du prix René Philoctète pour son recueil de poésies « Kaskad peyi » ; Sybille Claude, auteure d’un roman au titre évocateur, « Le chant des blessures