Moïse et Céant auraient dû subventionner œuf, farine, spaghetti et hot-dogs…

En décidant de renoncer à ses taxes sur l’importation de riz et de fixer un taux de change fixe en douane de 80 gourdes pour un dollar, l’administration Moïse-Céant a décidé d’amonceler un peu plus de riz importé dans les assiettes haïtiennes, au détriment de la production nationale de cette céréale.

Frantz Duval
Par Frantz Duval
25 févr. 2019 | Lecture : 3 min.

En décidant de renoncer à ses taxes sur l’importation de riz et de fixer un taux de change fixe en douane de 80 gourdes pour un dollar, l’administration Moïse-Céant a décidé d’amonceler un peu plus de riz importé dans les assiettes haïtiennes, au détriment de la production nationale de cette céréale.

Encore une fois, comme en 1986 et même avant, du temps de Jean-Claude Duvalier, l’État haïtien va faire la part belle aux agriculteurs étrangers et aux importateurs locaux. Le riz pour tous est depuis des décennies le riz import

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