Une démocratie plombée par la pauvreté

Au moment où je m’apprête à griffonner ces lignes, j’entends Stéphanie Pierre-Paul, à l’occasion du retour en ondes de Radio Kiskeya après la terrible catastrophe de la soirée du vendredi 21 décembre 2018, évoquer le niveau de vie exécrable de la population.

Jean-Claude Boyer
Par Jean-Claude Boyer
26 févr. 2019 | Lecture : 4 min.

Au moment où je m’apprête à griffonner ces lignes, j’entends Stéphanie Pierre-Paul, à l’occasion du retour en ondes de Radio Kiskeya après la terrible catastrophe de la soirée du vendredi 21 décembre 2018, évoquer le niveau de vie exécrable de la population. Il se trouve que, le 7 février, dans la matinée, faisant la route en direction de la Montagne Noire pour rendre visite à un ami, je partageais avec un jeune professeur l’idée que la démocratie est bloquée par l’extension de la pauvreté. En gravissant la montagne, des coups d’arme

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