Les informations ont été suspendues pendant vingt-quatre heures sur les ondes d'une douzaine de stations de radios et de télévisions et sur le site d'une agence de presse pour contester une menace du gouvernement de transition de prendre des sanctions contre les médias et les journalistes donnant la parole "aux bandits" qui "annoncent leurs actes terroristes et qui s'en vantent".
De la musique de circonstance a été diffusée aux heures habituelles des éditions de nouvelles de ces médias, a-t-on constaté durant toute la journée de ce vendredi