Comme on dit chez nous, « moun yo te abiye pou tout kòb yo », le 9 décembre, dans le cadre de la grande première de « God’s will » en Haïti. La salle du Karibe n’était ni clairsemée ni aussi remplie que celle de North Miami où le film est sortie pour la première fois au mois de septembre. On a vite compris qu’il n’y pas eu une promotion forcenée pour celle de Port-au-Prince.
L’absence de Blondedy Ferdinand dans la salle, le premier rôle féminin, était vite remarquable, mais cela n’avait pas suffi pour décourager le public qui apparemme