Généralement, la microfinance est considérée comme un outil de lutte contre la pauvreté. Les programmes, dans ce secteur, ciblent souvent les femmes en priorité, en soutenant qu’elles tendent à être généralement plus vulnérables à la pauvreté que les hommes. La chronique de cette semaine jette un coup d’œil sur la proportion d’emprunteurs de sexe féminin, au niveau des Institutions de microfinance (IMF) en Haïti. En fait, elle se focalise sur le sexe prédominant en termes de nombre d’emprunteurs, et en ce qui à trait au nombre d’employés.