L’arrêt de travail déclenché par les avocats du barreau de Port-au-Prince pour dénoncer les exactions policières à l’encontre des leurs a suscité moult réactions au sein des institutions étatiques, surtout la fermeture forcée des portes du tribunal de première instance de Port-au-Prince. En effet, le Conseil supérieur du pouvoir judiciaire (CSPJ) a fixé sa position sur cette situation qui entrave le bon fonctionnement du tribunal.
Bien que le droit de grève soit reconnu par la Constitution, les lois de la République et les conventions