« Mon kidnapping a certes été une très mauvaise expérience, mais cela m’a aidée à grandir mentalement, raconte Oxdelle Joseph. Je n’ai jamais pu voir le visage du chef de mes ravisseurs, mais j’avais eu la chance de parler aux cinq jeunes de 16, 17 ans et plus qui nous surveillaient. Ils m’avaient fait comprendre que lorsqu’ils participaient aux enlèvements commandités par le patron, ils mangeaient, payaient leur écolage et aidaient leur famille avec l’argent qu’ils gagnaient. »
Pendant sa conversation avec ces jeunes, Oxdelle leur a