La raréfaction de l’aide étrangère rend le président de la République plus pragmatique, un peu assagi, il faut le rappeler dans ce contexte de crise économique interne, notamment de contraintes budgétaires. En s’exprimant à la 73e session ordinaire de l’Assemblée générale des Nations unies, à New York, Jovenel Moïse s’est employé à trouver les mots justes pour s’adresser à la communauté internationale et la convaincre de venir en aide au pays.
Tel un cri pour se libérer d’un lourd fardeau, le chef de l’État haïtien croit avoir