« Jacques a su... »

« Par quel chemin sommes-nous passés pour en arriver là ? », s'est interrogé, perplexe, Franketienne. Ce dernier, malgré lui et contre lui, présentait l'oraison funèbre de celui qu'il appelait son fils, Jacques Roche. En l'église St-Pierre de Pétion-Ville, le poète-diseur-journaliste, Jacques Roche, a reçu ce jeudi 21 juillet 2005, jour de son 44ème anniversaire, les derniers hommages de ses parents, ses amis, ses collègues journalistes et ses compagnons de plume.

Gaspard Dorélien
gasparddorelien@hotmail.com
Par Gaspard Dorélien gasparddorelien@hotmail.com
22 juil. 2005 | Lecture : 3 min.
Costume noire. Chemise blanche. Cravate jaune. Le corps du poète repose, non sans son vent de liberté dans sa bière. Un ballon de foot-ball à coté de son cadavre, rappelle sa passion qui reste vivante. La dernière fois que j'avais vu Jacques Roche en costume et cravate, c'était le 12 juillet 2004. Il était maître de cérémonie à la soirée de remise de la médaille Pablo Neruda à Franketienne. Ce lundi 12 juillet 2004, en la résidence de l'Ambassadeur du Chili (M. Marcel Young) en Haïti à Musseau, Jacques Roche avait déclaré par mégarde que cette
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