«Le pays vit dans une situation difficile. La violence a atteint un seuil critique. Les gens ont peur. Les bandits aussi. Mais les honnêtes gens ne doivent pas avoir peur. Ils ont le devoir de serrer les rangs, de former une synergie autour des grands problèmes nationaux. Haïti ne doit pas mourir et il appartient à tous, sans exception, de prendre conscience du grand défi du moment». C'est, pour l'essentiel, ce qu'a déclaré le ministre des Affaires sociales au cours de son entretien avec le directeur du journal Le Nouvelliste, Max E. Chauvet.