A la mémoire de Jacques Roche (Poète, Journaliste, Militant patriote)

Le trop-plein à mes yeux

Le trop-plein à mes yeux Broie mes pas sur le sable Sur l'instance du silence Perdu un rêve d'eau Dans le grand bleu de là Le dire s'en est allé Et Jacques toi Que je n'ai pas connu mais lu mais dit Au carrefour du Baume de la souffrance Des jours Tes vents de liberté Et Jacques toi que je n'ai pas connu Au midi De la béance Géante porte de la blessure La saison qui y meurt Le trop-plein à mes yeux Sous l'oeil noir de leurs douilles Jacques toi qui n'a point Menti, haï Sous la torture Des hydres L'odeur bleue du grand large Tes vents de liberté Le trop-plein à mes yeux Quand le silence me frôle de l'armature Des heures Jacques Ma langue aux aigreurs de la mort partagée Qui dira La parole est mordue au carrefour Si le poème n'annonce L'ensemencement des heures La neige barricadant l'avalanche mortuaire Ce trop-plein à mes yeux.

Le trop-plein à mes yeux Broie mes pas sur le sable Sur l'instance du silence Perdu un rêve d'eau Dans le grand bleu de là Le dire s'en est allé Et Jacques toi Que je n'ai pas connu mais lu mais dit Au carrefour du Baume de la souffrance Des jours Tes vents de liberté Et Jacques toi que je n'ai pas connu Au midi De la béance Géante porte de la blessure La saison qui y meurt Le trop-plein à mes yeux Sous l'oeil noir de leurs douilles Jacques toi qui n'a point Menti, haï Sous la torture Des hydres L'odeur bleue du gr
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