Par Jacques Roche
J'ai lu avec émotion ton mail de jeudi matin où tu me dis des vérités sur la réalité haïtienne et sur moi-même. Quand tu écris « Je te connais trop pour ne pas soupçonner chez toi une pointe d'amertume, de la colère, et même un certain dégoût face à cette situation où tout pourrit au sens le plus banal du terme : les arbres, les hommes, les rues, les fleurs. » « Les cannibales frappent encore dans une quelconque case ». Tu ne crois pas si bien dire.
Je note avec satisfaction que tu as su trouver les mots pour décrire avec