« En moyenne, la dépréciation de la gourde en 2017 était de 8,7%, par rapport à 24% en 2016 », constate la publication traditionnelle de la CEPALC éditée de manière ininterrompue depuis 1948. L’organisme des Nations unies a noté également les interventions de la banque centrale sur le marché des changes pour réduire ces fluctuations et pour contrer les spéculations, mais aussi pour atténuer son impact sur l'inflation, en particulier dans un contexte de volatilité continue du taux de change au cours du premier semestre 2018.
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