Bien que la population féminine effectue 60 % des travaux en milieu rural, elle constitue la première victime de l’insécurité alimentaire. En effet, améliorer le bien-être des femmes et favoriser leur épanouissement et leur autonomisation sont interconnectés et nécessitent une gestion intégrée, systémique et transversale. Cet atelier, d’après le représentant de la FAO en Haïti, Nathanaël Hishamunda, vise à contribuer à la mise en œuvre d’une «stratégie genre en matière de souveraineté sécurité alimentaires et de nutrition dans la région