J’ai écouté depuis la nomination les réactions subséquentes. Je n’avais guère envie de les prolonger ni de les commenter. Mais je m’aperçois que les vieux réflexes d’immobilisme ressurgissent. Alors, je crois utile d’apporter mon grain de sel. L’heure est grave. Pas moins de 113 entreprises commerciales ont été saccagées les 6, 7 et 8 juillet derniers. Une véritable catastrophe. Aussi le temps presse. La temporisation est contre-indiquée. Il faut hâter le pas.
Quand, après une série de consultations initiées par le président Jovenel