Nous sommes au plus haut point touchés par la disparition brutale de notre confrère Jacques Roche, victime de la barbarie, du sadisme, du terrorisme entretenu depuis le 30 septembre 2004 dans le pays et plus particulièrement à la capitale.
Par-delà la mort d'un journaliste, notre révolte est celle d'une grande couche de la population qui ne demande que de vivre dans une société civilisée, dans un pays où l'ordre doit primer sur les instincts débridés. Elle est aussi celle de Jacques Roche qui, toute sa vie, a fait option préférentielle pour