« Zaho », le sobriquet que Vladimir Legagneur, a traîné toute son enfance est bien le titre de ce court-métrage. Pendant les cinq minutes du film, on y trouve plein de références à la vie et aux engagements de celui dont on n'a jamais retrouvé les restes. Ce n’est pas une enquête sur son homicide suivie de la dissection de ces membres à Grand-Ravine, l’un des quartiers de Martissant, le 14 mars 2018, alors qu’il réalisait un reportage. Il s’agit plutôt d’un mélange non ennuyeux de fiction et de dénonciation d’une triste réalité en Haïti. Cel