Avant même sa prestation de serment, le 7 février 2016, comme 58e président de la République, M. Jovenel MOÏSE savait déjà qu’il ne sera pas de tout repos face à l’ancienne opposition anti-Martelly, regroupée dans la presse, dans la société civile et, tout bonnement, dans la classe politique.
Ses adversaires lui collaient, sans ménagement, l’étiquette d’inculpé pour les faits de blanchiment des avoirs mis à sa charge par une frange de l’opposition et des organismes de droits humains. D’entrée de jeu, il est opportun, pou