C’est le mois du football. Une fois, chaque quatre ans, toute la durée de la Coupe du monde est prétexte à la célébration de la passion pure, irrationnelle et sans partage des Haïtiens pour des joueurs lointains : Cristiano Ronaldo et Leonel Messi en particulier. Mais aussi tout bon joueur capable d’enflammer les esprits par un drible ou une magistrale réalisation. Ici, on aime vite quand le beau jeu est de la partie.
Mais pour Messi, Cristiano ou Neymar, on est disposé à souffrir avec eux, à gagner avec eux, à perdre avec eux. D’aille